Entre la rue Legendre et la rue Brochant, dans une rue tranquille. Appartement en rez-de-chaussée d'un bel immeuble XIXème en pierre de Paris. Idéal pour profession libérale, pied à terre, ou locatif, cet appartement lumineux comprend une entrée, un séjour de 14 m², une chambre de 12 m², une cuisiné séparée, une salle d'eau et des WC séparés. En très bon état, il bénéficie d'un DPE D. Chauffage individuel au gaz.
Le gouvernement a réussi à publier, en catastrophe avant sa censure, un décret et un arrêté sur les règles pour MaPrimeRénov’. À la clé une bonne et une mauvaise nouvelles.
À moins d’un mois de cette échéance, le stress monte chez les bailleurs. Et les questions fusent. Notamment une: les règles pour MaPrimeRénov (MPR), l’aide publique qui finance les travaux de rénovation énergétique et qui a fait l’objet d’une vaste escroquerie, vont-elles changer en 2025? La réponse est non. Si vous possédez une passoire thermique (DPE F ou G) et que vous changez vos fenêtres ou votre chauffage (c’est-à-dire un «monogeste»), vous pourrez continuer de bénéficier de MaPrimeRénov’ en 2025, selon un décret et un arrêté publiés en catastrophe le 4 décembre au Journal officiel, juste avant la chute du gouvernement Barnier. Pour les monogestes, les passoires thermiques ne seront donc plus éligibles à MPR, non plus le 1er janvier 2025 mais le 1er janvier 2026. Idem pour l’obligation de fournir un DPE.+
Une bonne nouvelle pour les ménages car les rénovations par geste sont plébiscitées par les Français: 172.878 dossiers déposés contre 70.601 demandes de rénovation globales, selon le dernier rapport de l’Agence nationale pour l’habitat (chiffres arrêtés au 3e trimestre 2024). «C’est une bonne nouvelle car, dans le contexte actuel, on aurait pu craindre un énième retour en arrière du gouvernement pour interdire les monogestes dans le cas de passoires thermiques», a réagi Audrey Zermati, directrice stratégie d’Effy, spécialiste en rénovation énergétique, qui souligne que l’aide MPR pour une rénovation globale s’élève tout de même à 37.000 euros en moyenne. «Maintenir les monogestes est une erreur car la dynamique est en faveur des rénovations globales depuis le début de l’année (voir ci-dessous)», rétorque Jean-Régis de Vauplane, directeur commercial et marketing d’Ithaque, autre expert de la rénovation énergétique.
Mais cette bonne nouvelle en cache une mauvaise. Les aides pour financer l’achat d’une chaudière, insert ou poêle à bois (bûches ou granulés) vont baisser. Et ce, pour l’ensemble des Français, qu’ils soient modestes ou aisés. Un arbitrage «équilibré», qualifie la désormais ministre démissionnaire du Logement, Valérie Létard. «Une baisse de 50% des aides au chauffage biomasse devait être actée. J’ai écouté la filière et obtenu que la baisse soit limitée à 30%. Ce n’est pas parfait mais c’est un effort supplémentaire de l’État pour continuer à développer une énergie non émettrice de CO2 et peu chère donc favorable au pouvoir d’achat des ménages», explique la ministre. Des propriétaires très modestes souhaitant acquérir une chaudière à granulés perdront ainsi 2000 euros d’aide, MaPrimeRénov passant de 7000 à 5000 euros. La part financée par l’État, pour ces populations, passera par ailleurs de 70% à 50%.
Les plus aisés, aussi, seront pénalisés par la volonté du gouvernement de réaliser des économies, en ces temps incertains. En cas de rénovation globale, la part financée par l’État sera abaissée de 30% à 10% si les travaux permettent de faire baisser le DPE de deux lettres et de 35% à 15% pour les sauts de 3 classes. Pas de changement en revanche, pour les rénovations «mono gestes». «Là encore, le calcul du gouvernement n’est pas bon. Même si 6% des aides MPR sont versées aux ménages aisés (10% des dossiers), ces derniers possèdent plus de la moitié du parc immobilier», déplore Jean-Régis de Vauplane. «C’est un moindre mal car au moins, les particuliers ont une visibilité sur la baisse de ces aides», estime de son côté Audrey Zermati qui redoute que le budget de MaPrimeRénov continue de baisser. «Malgré la dissolution, la demande a atteint un pic au troisième trimestre 2024 qui a été meilleur que les deux premiers cumulés.»
Belle propriété ancienne de 350 m² (dont actuellement 262 m² avec chauffage) avec de nombreuses dépendances sur un terrain de 2600 m² – Les Gandelins – La Chapelle de Guinchay, à 15 minutes de Mâcon et de la gare TGV. La maison principale comprend de belles pièces de vie pouvant être agrandies, une cuisine avec office, 7 chambres, une salle de jeux, 4 salles de bains, 3 WC. Une partie mitoyenne offre une vaste salle de réception et deux chambres avec salle d’eau et WC. Grenier aménageable de 160m². Plusieurs caves voûtées de bonnes tailles. Un grand garage. Et enfin plusieurs dépendances (anciennes écuries, remises…) offrant un important potentiel. L’ensemble nécessite une large rénovation. Le jardin peut accueillir une piscine.
Cet ancien tinailler, qui jouxte une magnifique chapelle romane, a été entièrement rénové et offre tout le confort moderne pour des séjours agréables. En bas, la vaste pièce de vie comprend le coin salon, l'espace repas et la cuisine tout équipée. Des WC avec lave-mains. Une première chambre (3 couchages) avec salle d'eau attenante pour PMR. A l'étage : un couloir dessert 4 grandes chambres de 1 à 4 couchages avec chacune sa salle d'eau comprenant douche, lavabo et WC privatifs.
Le hameau très calme est entouré d'un beau paysage de vignes et de collines. Au village (à 1 minute en voiture), on trouve : boulangerie-supérette, restaurant, café-tabac, cave coopérative, bureau de Poste.
En parfait état et exploitable de suite, ce gîte offre un bon rendement avec un taux de remplissage très satisfaisant. Il a généré ces dernières années un chiffre d'affaires annuel entre 20 000 et 28 000 €.
Possibilité d'acquérir en face un terrain de 140 m² avec grange de 30 m² en bon état pouvant servir de garage ou rangement. Prix : 22 000 € FAI.
DPE : C
Prix : 209 000 € frais d'agence inclus (4% ttc à la charge du vendeur)
Prix avec le terrain voisin + grange : 231 000 € FAI